
Ouillas, une enfance heureuse, Aurec, la langue d’oc.
Onte es passat queu temps ?
Ouillas, humble localité des bords de Loire, communed’Aurec-sur-Loire, en Velay oriental, a vu naîtreAndré Gerey et l’a vu éclater de bonheur à une époque où la vie était dure, mais dans un village où les solidarités paysannes étaient bien réelles.
L’auteur, devenu instituteur, a décidé de restituer la richesse de la langue d’oc, ses tournures expressives, sa poésie, sa musicalité, la langue maternelle (patois ou occitan) et « grande maternelle », celle qui chante encore dans son cœur.
André Gerey décrit la vie simple de travail acharné dans les années 40, à la fin d’une époque marquée par la mutation agricole. Il raconte les événements au fil du temps et des ans, vie de la ferme, fenaisons, moissons, battage, tuaille, sourires et farces, la vogue et le carnaval, l’école du village. Il décrit quelques personnages truculents et l’histoire de ces paysans-ouvriers qui forgeaient des clous.